La majorité des tests de dépistage sont fiables.
De nos jours, il existe un bon nombre de tests de dépistage. Il en existe pour détecter la consommation d’alcool ou la consommation de cannabis. Certains tests de dépistage sont utilisés à des fins de santé. C’est le cas des tests de dépistage des infections sexuellement transmissibles, comme le test de dépistage du syndrome d’immuno déficience active (S.I.D.A.). Forte heureusement, on peut dire que la majorité des tests de dépistage sont fiables et de plus en plus performant. Prenons par exemple, le cas du test de dépistage du virus d’immunodéficience humaine (V.I.H.). Depuis sa sortie dans les années quantre-vingt, ce test de dépistage a fait ses preuves. Néanmoins, à l’époque, il ne pouvait détecter qu’une concentration suffisamment forte de virus dans le sang. C’est la raison pour laquelle, il fallait attendre trois mois après avoir eu une relation sexuelle à risque pour se faire dépister. Aujourd’hui, ce test de dépistage permet de détecter la présence du virus un mois seulement après avoir eu une relation sexuelle non-protégée. Plus de renseignements pour les practiciens peuvent être trouvés sur le net sur des blog tels que Médecin Digital par exemple.
Certains tests de dépistage ne sont pas fiables.
Si la plupart des tests de dépistage sont fiables, ce n’est pas le cas de certains. En effet, le test de dépistage du canabisse à partir d’urine ne l’est pas. Il est tellement incertain, que la police ne peut l’utiliser, que dans certains cas bien précis. De plus, ce test de dépistage doit toujours être succèder d’analyse plus appronfondi à partir des cheveux. Un autre test de dépistage qui meriterait d’être améliorer est l’alcootest. En effet, ce dernier est sensé donner une image de la contration d’alcool dans le sang, au travers de la concentration d’acool que l’on rejette en expirant. Néanmoins, cette image n’est pas fiable. En effet, la contration d’alcool que l’on rejette en expirant, dépend du poids et de la taille, alors qu’il n’en est pas le cas pour la concentration d’alcool dans le sang. C’est la raison pour laquelle, les forces de l’ordre sont contraintes de faire souffler l’étylomètre les personnes controler positifs à l’alcootest.